Hébergement, Wordpress et performance

L’informatique est un monde vaste qui recouvre beaucoup de métiers différents, mais c’est quand on cherche un hébergement pour un site internet qu’on s’en rend compte vraiment.  Si on passe les offres mutualisées pour parler directement VPS ou serveurs dédiés, il existe encore de nombreux hébergeurs. Et puis même si vous êtes développeur, quand il s’agit de machines, il faut un temps d’apprentissage non négligeable pour appréhender les détails. Lorsque des problèmes surviennent n’oubliez pas que les administrateurs systèmes ne sont pas des développeurs donc souvent ils peuvent vous aider sur les symptômes (c’est déjà beaucoup) mais n’écoutez pas trop leur diagnostics.

Déjà il est préférable de se situer dans la même zone géographique que vos visiteurs (il en va de même pour vos DNS) surtout si vous avez un domaine en .com qui ne donnent aucun indice au moteur de recherche quand à votre localisation.

J’ai choisi Wordpress pour un blog car même si je ne suis pas à l’aise avec le langage PHP (depuis ça va mieux) ce moteur de blogs est un des plus populaires donc avec des nouvelles versions (et des patchs) régulièrement et un écosystème vivant (pour des plug-ins, des tutoriaux, les forums etc.). Mais cette facilité vient avec un prix : la performance.

Il existe pas mal d’articles sur les performances de Wordpress et notamment son usage du CPU. Et je dois dire que j’ai mis du temps à trouver les bonnes ressources. Beaucoup de micro-optimisations sont possibles : enlever les appels à des fonctions comme bloginfo(‘url’) en préférant les urls en dur, éviter les plug-ins qui sont gourmands en requêtes SQL, utiliser un système de cache au niveau de Wordpress comme WP Super-Cache.

Toutefois voici quelques informations glanées après des recherches approfondies :

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