The Void Trilogy - Peter F. Hamilton

Quand on a un Kindle et qu’on s’attelle à la lecture d’une trilogie c’est tellement facile de commander le tome suivant qu’on a vraiment dû mal à décrocher. Il faut dire que l’univers inventé par Peter F. Hamilton est saisissant. Et puis cet univers est très fourni, le livre faisant parti d’un tout qui dépasse les 3 livres que j’ai lus. La chronologie en fin de livre n’est donc pas trop pour se retrouver dans les différentes situations. On se situe donc dans un futur très lointain où la plupart des êtres humains (ou non) vivent sur des planètes bien éloignées de la Terre pour constituer un ensemble appelé le Commonwealth. Mais dans cet ensemble il existe plusieurs factions qui n’ont pas la même vision du développement : les Highers, les Accelerators, les intelligences artificielles, les autres races. Mais il y en a une en particulier qui pose problème : le mouvement «Live Dream » qui attend un messie pour être transporté dans le Void. Cette anomalie cosmique est faite d’un univers qui vit dans une dimension temporelle complètement différente. Et nous, lecteurs, vivons dans les deux théâtres des opérations. Celui du Void a un côté plus «médiéval » car ses habitants  n’ont pas accès aux technologies avancées bien qu’ils soient dotés quand même de pouvoirs tels que la télékinésie ou la télépathie. La rencontre de ces deux mondes ne peut se faire sans dégâts.

La lecture est vraiment agréable avec un humour très bien placé dans ce livre de science-fiction. Voici quelques citations issues des annotations publiques:

“Welcome to the paranoia club; cheapest fees in the universe and membership lasts forever.”

“And when you’re as old as me, your guesses are certainties.”

“you’re acting like a prom virgin who’s made it to the motel room.”

“Ozzie chuckled. “Something you need to know about Paula Myo. Apart from being able to freeze your balls off at ten paces with a single look, that chick seriously rocks. Wouldn’t be surprised if she’s your secretive boss. She’s done groovier things in her time.”

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